29.9.14

Au bord du gouffre, de Wolfgang Hohlbein



Genre : fantasy noire
Premier tome de La Chronique des Immortels 
Nombre de pages : 283
Édition : L'Atalante

Quatrième de couverture : Quand Andrej Delany revint à son village de Borsa, au cœur de la Transylvanie, ce fut pour y trouver l'unique survivant d'un massacre, un garçon de douze ans. Tous deux partent alors en quête des assassins : des moines de l'Inquisition ainsi que trois mystérieux "guerriers d'or". La traque les mènera d'abord jusqu'au port de Constanta, sur la mer noire, et vers la révélation du secret – de la malédiction ? – qui pèse sur le lignage des Delany.

Mon avis : J'ai lu les deux premiers tomes de cette saga quand j'étais en classe de seconde. Mon esprit critique en littérature n'en était qu'à ses balbutiements ; et si je ne suis toujours pas une référence en la matière, je peux dire après cette relecture, que ce bouquin n'est absolument pas du grand art.
Nouvelle façon d'aborder l'immortalité, avec un personnage adulte qui ne sait toujours pas qu'il est une espèce de vampire, et qui va galérer tout au long du bouquin jusqu'à le comprendre. Malheureusement l'écriture (ou la traduction) laisse à désirer, et si c'est fluide à la lecture, ça manque gravement de style et on s'ennuie lors de longues descriptions de combats.
Je vais pourtant relire aussi le deuxième tome que j'ai en ma possession et peut-être acheter le reste s'il arrive à me convaincre. Ce dont je doute pourtant.

5 commentaires:

  1. On ne peut pas dire que ton avis donne très envie de se laisser tenter... Et il n'y a rien de plus soporifique que les longues descriptions à mes yeux, sauf si elles apportent quelque chose au récit ou sont suffisamment intéressantes pour m'empêcher de sauter directement à la page suivante - une des raisons pour laquelle j'adore Zola, notamment. Il ne m'ennuie jamais.

    (C'est dingue comme des lectures qui peuvent nous plaire au collège ou au lycée deviennent beaucoup moins passionnantes en grandissant.)

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    1. C'est la remarque que je me fais à chaque fois (ou presque) que je relis quelque chose que j'aimais à l'adolescence. En ce moment je me refais la saga Eragon aussi, qui me confrontait pour la première fois aux dragons quand j'avais 15 ans ; mais il suffit de lire en parallèle le Dragon Griaule pour vite faire la différence entre du bon roman dragonesque et du mauvais. C'est comme comparer Anne Rice à Stephenie Meyer (Twilight)...
      Niveau descriptions, il y en a qui peuvent être carrément sublimes, notamment celles de Hugo, lorsqu'elles concernent des personnages, des paysages, etc., mais les descriptions de combat "épique" dans pas mal de romans de fantasy sont d'un ennui mortel. Je n'ai pas réussi à accrocher à Zola quand j'étais ado' et je n'ai jamais cherché à aller plus loin, un jour je me déciderai à passer le cap. Le monde entier me dit que je passe à côté de quelque chose !

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  2. Coucou très chère, j'espère que tu te portes bien, je pense à toi! (oui, aucun rapport avec ton article, j'avoue ;))

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    1. Pas de souci, ça fait plus plaisir qu'autre chose :)
      Je vais bien, merci ! J'avais prévu de pondre un petit article cette semaine, j'ai quelques trucs à raconter.

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    2. bon tant mieux je suis contente :)
      je surveille la mise à jour ;)

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